• Le célibataire de l'année-Partie II

    Partie II

    -« Ron, si tu ne descends pas, tu seras en retard ! » hurla sa femme au pied des escaliers.

    -« Oui, j’arrive » lui répondit-il en sortant de leur chambre pour dévaler les escaliers.

    -« A quoi ça sert que tu nous aies rabattu les oreilles toute la semaine sur ces procès ultra méga importants que tu ne dois pas manquer si t’arrives pas à être à l’heure » se moqua gentiment sa sœur qui installait un petit rouquin de 6ans sur une chaise surmontée d’un coussin.

    -« Ginny, quand te décideras-tu à te trouver un toit bien à toi. » riposta l’homme en se précipitant sur une tranche de pain posé sur la table.

    -« Je ne suis plus la bien venue chez toi Ron ? » demanda la rousse en s’attablant juste à côté d’une fillette rousse. « Tu as vu ça, ma belle, ton papa veux me chasser d’ici. »

    -« Ma fille sera toujours la bienvenue chez moi » intervenu leur mère qui sortait de la cuisine une assiette de bacon en main rappelant qu’elle était encore la propriétaire légal des lieux. « Par Merlin ! Ron assis-toi pour mangé convenablement. »

    -« Mois mommon, jcrois allé au trabail. » déclara le dit Ron tout en mâchant goulument un œuf au plat.

    -« Ta mère a raison chéri, tu finiras par t’étouffer » surenchérit sa femme en s’installant elle aussi à  table.

    Convaincu, il s’installa. A vrai dire, c’était comme ça tous les matins. Menacé d’arriver en retard au travail, il s’habillait en quatrième vitesse, qui a laissé sa chemise dépassé de son pantalon, ou à sauter quelques boutons à sa robe. Ça faisait bien rire ses collègues aurors, surtout son meilleur ami Harry, mais le repas en famille, c’était sacré, surtout que sa première Rose allait entrer à Poudlard à la prochaine rentrée, il se devait de passer le peu de temps qu’il avait avec elle.

    -« Alors Ginny c’est toujours d’accord, pour emmener Rose avec toi ? »

    -« Bien sur Herm, à moins que Mlle Rose ne veuille pas aller faire les boutiques avec sa ravissante et gentille tante. » fit la rousse en regardant sa voisine, le regard pétillant de malice.

    -« Bien sur que je veux tante Ginny. » fit l’enfant dans un sourire timoré. Rose Weasley, tout juste 11 ans, était plutôt grande pour son âge, robuste comme son père, intelligente comme sa mère, elle était la princesse adorée de son papa. Son seul défaut selon lui était sa timidité presque maladive.

    -« Eh Ginny, tu ne lui prends rien de provocateur, » lui rappela le père buvant goulument son café au lait.

    -« Ron fait un peu confiance à ta sœur » le sermonna sa mère.

    La souffrance, bien plus que les années, se lisait sur le visage de la matriarche de la tribu Weasley. Molly, mère poule puis mamie gâteau, avait vu la guerre déchirer sa si grande et belle famille. Symbole de la cohésion, de l’union et du courage de l’Ordre du Phénix, les heures de gloires de la fratrie avaient brûlés comme du papier et le malheur s’était abattu sur eux les frappants encore et encore. Il y avait d’abord eu la mort de son fils Fred, qui l’avait brisé au-delà de tout. Ensuite celle de son époux, Arthur, suite à une longue maladie. Billy anéantit par sa défiguration avait mis fin à ses jours laissant une femme et deux enfants qui repartirent en France malgré son acharnement à les garder auprès d’elle. Georges qui n’arrivait pas à se remettre de la mort de son jumeau allait de dépression en dépression. Charlie airait sans but avec ses dragons, heureux de vivre comme un bohémien sans se rendre compte que cette vie de vagabond inquiétait sa mère. Ginny, attendait l’amour d’un homme qui ne la voyait même plus comme une petite sœur, tant elle l’insupportait. Et Harry qui ne venait plus la voir. Heureusement, il y avait Percy et Ron deux hommes ayant la tête sur les épaules, un bon travail au ministère et une petite famille adorable. Ron était venu au Terrier à la mort de son père, ne voulant pas laisser sa mère seul avec un dépressif. Percy et sa famille qui n’habitaient pas loin, venait tous les jours les saluer. Il y avait aussi sa confidente et amie, Minerva McGonagall. Fidèle à elle-même, la directrice de Poudlard était pourtant une source intarissable de gaité. Le « Green’s cat » comme le surnommait les élèves lui arrachait toujours des fou-rire quand elle venait se plaindre de ses « adorables » élèves en mimant leurs bêtises ou répétant leur inepties. Et puis, pour ne pas rester inactive, elle organisait tous les dimanches de grands repas. C’était Arthur qui en avait eu l’idée, après la guerre, histoire de réconforter les cœurs, et c’était resté même après lui. Il y avait tant de monde qui venaient si bien que tous restait en contact les uns avec les autres. On pouvait y rencontré tous les héros de guerre comme bien incontestablement les Weasley mais aussi les Lonbubat : Neville, sa femme Luna, leur enfants et même sa grand-mère Augusta. Dean Thomas, Seamus Finnigan, Olivier Dubois, Cho Chang, Denis Crivey, son époux Théodore Nott et leur fils Clovis. Et oui, même les enfants de mangemorts étaient invités. La paix ne devait-elle pas aussi servir à ça ! Pansy Parkinson, Blaise Zabini -qu’elle adorait- venaient eux aussi chez elle, il y avait même eu une fois Drago Malefoy.

    -« Certainement pas ! Si on la laisse faire, ma gentille et douce petite Rose ressemblera à une dévergondée le jour de la commémoration. »

    -« Tu exagères Ron » rouspéta sa sœur.

    -« Imagine-toi, ma pauvre Rose, une tenue indécente sur le dos, perdue en plein milieu du parc de Poudlard, entourée par des 6eme année aux regards lubriques. »

    -« Ron, tu vas trop loin là » lui fit remarquer sa femme en lui donnant un coup de coude.

    -« Non, je suis réaliste. Ils la verront et se diront que l’année prochaine, quand eu seront en 7eme année et qu’elle, elle sera en 1er année, ils pourront… haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!!! »

    -« Tu effrayes ta fille » lui annonça sa femme le regard noir.

    Hermione Weasley était l’un des plus grands médicomages du pays. Son statut d’héros lui avait ouvert de nombreuses portes, mais seul son savoir lui avait permis de rester au sommet. Grâce à Merlin elle n’avait pas eu besoin de choisir entre sa carrière et sa famille. Elle aimait son mari, et ce dernier le lui avait bien rendu en lui donnant deux beaux enfants : Rose et Hubert. Son seul regret s’était son frère de cœur Harry, toujours célibataire qui s’était éloigné d’eux petit à petit.

    -« Excuse, Rose. Papounet ne veut pas te faire peur … »

    -« Et pis papa va te protéger si des vilains gaçons t’attaquent » fit remarquer le petit Hubert Weasley les lèvres pleines de chocolat.

    -« Oui, Hurny a parfaitement raison, papounet sera toujours la pour ses trésors chéris » chantonna presque le père en se levant pour leur faire un petit câlin.

    -« Maman, tu veux venir avec nous, comme ça tu t’achèteras une toute nouvelle robe pour faire succomber l’assistance le jour de la commémoration. »

    -« Non merci ma chérie, pas de folie vestimentaire pour moi cette année. L’an dernier tu m’as fait acheter trois robes, t’en rappel tu ? »

    -« Maman ! Tu ne vas pas mettre une robe acheté l’an dernier. »

    -« Si. »

    -« Tu devrais faire de même Ginny » la réprimanda son frère, se plaça de tout son long à ses côtés.

    -« Ron c’est pas parce que tu es toujours habillé comme un sac que moi aussi je dois l’être» lui lança sa sœur avant de sortir de table.

    Il était presque huit heure, l’heure à laquelle son hibou « mini-Hedwige » rapportait les journaux pour toute la famille. Il ne devait pas être loin, elle ouvrit la porte et un volatile hululant entra lâcha sur la table basse la tonne de revus qu’il tenait avant d’aller sur son perchoir rejoindre ses amis.

    -« Ginny, je prends soin de mon mari quand même ! »

    Le frère et la sœur se précipitèrent sur les journaux, mais ce fut la fille qui emporta le lot.

    -« Toi oui, mais lui non !!! » lui lança t-elle en retournant s’assoir pour la distribution matinal.

    Elle tendit aux enfants leur Petit conte sorcier et ils sortirent de table comme des furies pour aller s’installer dans le divan. Rose allait faire la lecture à Hurny quoi que ce dernier sache déjà lire.

    -« Et pourquoi tu as besoin d’une nouvelle robe d’abord ?  Trouve-toi un appart ! »

    -« Maman ! Dis à ton fils que je peux rester ici autant que je veux ! » fit la petite rousse en tendant la célèbre Gazette du sorcier à sa mère.

    -« Ron, ta sœur peut rester ici autant qu’elle veut » la soutenue Molly en prenant son quotidien.

    -« Maman ne la défend pas, s’il te plait »

    Ginny passa ensuite à Hermione en lui tendant Santé & Sorcier où elle y avait publié un article.

    Pour terminer, elle lança le Quidditch magazine à Ron qui ronchonna en le saisissant. Il ne restait plus que la Lettre médical pour Georges, il l’aurait quand il descendrait et le Sorcière Actuelle, le meilleur magasine féminin du pays, pour elle.

    -« Oh le Sorcière Actuelle et son concours annuel du célibataire de l’année. » gloussa Ginny en le montrant à une Hermione déjà plongée dans la relecture de son article.

    -« Quoi ! Encore ce concours ! » lança la brune tout en recevant un baiser sur le front de la part de son époux, avant qu’il s’en aille. « Bonne journée chéri. »

    -« C’est chaque année Herm, chaque année » gloussa de plus belle la rouquine.

     

    De son regard pétillant, Ginevra Weasley, la trentaine, un corps de rêve une bouche généreuse, un regard de braise, admirait la couverture. Il y avait deux portraits qui se faisaient face, celui de gauche appartenait à celui de   l’homme de ses rêves, son âme sœur : Harry James Potter. Il souriait doucement et son regard émeraude était sombre. Sa cicatrice en forme d’éclair ne se voyait presque plus malgré le faite qu’il ne la cachait plus comme avant avec ses cheveux de jais indomptable. La rousse soupira en le regardant. Elle eu à peine un regard pour le portrait de droite, c’était celui d’un homme qu’elle m’affectionnait pas du tout : Drago Lucius Malefoy. Toute l’arrogance de cette homme se lisait sur la photo, il ne souriait même pas, il avait juste ce rictus déplaisant sur les lèvres, son regard gris brillait de snobisme et ses beaux cheveux respiraient la noblesse. En titre, Les favoris pour le concours : qui de Harry Potter ou de Drago Malefoy remportera le titre cette année ?p.5-9. Ginny se rendit immédiatement aux pages qui l’intéressaient. Il y avait une vingtaine de candidats, tel que Blaise Zabini, Olivier Dubois ou encore Jordan Lee et Marcus Beldy. Mais pour elle un seul homme comptait.

    -« Je parie qu’Harry va encore remporter le titre, pas toi Hermione. »

    -« Ginevra, tu devrais arrêter avec cette histoire » la réprimanda sa mère en desservant la table. 

    -« Maman de crois tu parles encore. »

    Elle jouait les ingénues mais elle avait parfaitement compris où sa mère voulait en venir. Lors de sa cinquième année, elle était sortie une première fois avec Harry. Ils s’étaient séparés juste avant le début de la guerre pour éviter qu’elle ne soit en danger mais avec la promesse de se remettre ensemble par la suite. Une fois la guerre terminée avec les ravages qu’on lui connaissait, ils avaient plus ou moins été ensemble pendant près d’un an, hélas dès qu’Harry fut nommé auror, il se mit à travailler plus que de raisons, l’oubliant. Elle pleura pendant des mois, lui écrivant des lettres aussi longues que les devoirs de potions de Rogue, et plus elle le suppliait de venir la voir, moins elle le voyait. Ron avait dû intervenir obligeant Harry à éclaircir la situation. Il sembla alors qu’il lui était revenu, pendant quelques mois il était à ses côtés, venant tous les dimanches au Terrier, ils se promenaient main dans la main, s’embrassant à perdre haleine. Elle était si heureuse ! Et puis, il y a eu cette affaire qui tenu tout le pays en alerte, tous les aurors étaient sur le-qui-vif. Hermione qui d’habitude était si calme était une vraie boule de nervosité. Ron passait des journées entières hors de la maison, ne rentrait au près d’elle que pour rechercher un peu de réconfort ; le soutien de celle qu’il aimait. Et Harry … elle, Ginny, ne l’a jamais vu. N’avait-il pas besoin lui aussi de réconfort ? N’avait-il pas besoin de celle qu’il aimait ? Ce fut pour elle une période d’angoisse extrême, car pour la première fois de sa vie elle envisageait qu’Harry voyait quelqu’un autre. Elle eu la nausée, des crampes d’estomac, des migraines et toutes sortes de maladies psychosomatiques. Quand l’affaire fut réglée, les aurors sur le coup eurent deux mois de repos. Ron et sa belle-sœur s’enfuirent aux États-Unis où ils conçurent Rose et rencontrèrent Pansy Parkinson et son mari Cold. Elle, elle attendit Harry encore et encore, chaque jour se faisant plus belle que la veille pour le moment où il viendrait la voir. Elle n’eu des nouvelles de lui qu’à son retour d’Inde, il était parti seul sur les chemins de la retraite d’un dieu moldu dont elle ne retenait jamais le nom. C’était selon lui un voyage qu’on accomplissait seul. Elle l’avait cru, pourquoi ne pas le croire, il semblait plus reposer, plus calme et plus sur que lui. Elle aurait dû se méfier, car peu de temps après ils officialisaient leur rupture. Terrasser par le mal et le chagrin de la perte de son père, elle partit jouer les reporter sans frontières à travers le monde. Elle semblait avoir totalement oublié Harry Potter, décrivant dans ses lettres les paysages fantasmagoriques qu’elle rencontrait. Hermione et Molly lui répondaient en lui donnant des nouvelles d’ici évitant le plus possible de parler d’Harry. Mais un jour, il y a quatre ans, elle le vit. Il était resplendissant, il brillait de mils feux sur le papier glacé, il respirait la sincérité, et il venait de remporter pour la 7e année consécutive le titre du célibataire de l’année chez Sorcière Actuelle. Ça a fait « tilt » dans sa tête, voila 7ans qu’elle était partie, et après elle, il n’y avait eu personne, absolument personne. Il l’attendait, elle et personne d’autre. Elle abandonna tout et rentra en Angleterre. C’était un dimanche quand elle posa ses valises sur le sol natal. Elle fut accueil comme une reine, reçue comme une impératrice, hébergée comme une pierre précieuse. Elle  ne défit pas ses paquets persuadée qu’il l’attendait, elle n’avait donc pas longtemps à patienter avant qu’il ne l’emmène chez lui, dans l’immense manoir des Malefoy. Toute la famille avait cru qu’elle ne restait pas, qu’elle allait repartir bientôt dans ses voyages à travers le monde, aucun d’eux n’imaginait qu’elle l’attendait lui. Au bout d’un moment ne le voyant pas venir à elle, elle prit la licorne par la corne et décida d’ouvrir les yeux à son bien aimé. Rendez-vous galant, embuscade et sous-entendu allèrent de  bon train jusqu’au moment où il ne mit plus les pieds au Terrier. Ron et surtout Hermione furent très fâchés de ne plus voir leur ami, de nouveau et Molly déprimée de constater que sa fille faisait une obsession sur un homme, la pire des choses qui soit pour une femme selon elle.

    -« Harry ne t’aime pas, ma fille. »

    -« Maman, il m’aime, seulement il est un peu lent pour comprendre ce genre de chose. »

    Furieuse et désespérée, elle alla retrouver ses petits-enfants sa joie de vivre en ses moments difficiles. Elle avait haït Harry pendant quelque temps, juste avant que Ginny ne parte. Elle qui avait aimé cette enfant comme un fils, et elle en était venue à le détester de faire souffrir sa fille. Mais 7ans plus tard, il était à nouveau son fils et elle se trouvait bête de l’avoir rejeté à une époque. Au retour de sa fille, elle, avait cru que tout allait s’arranger, non pas qu’ils seraient de nouveau ensemble, mais elle pensait avoir à faire à deux adultes raisonnables. Elle déchanta vite en voyant sa fille courir comme une collégienne après un homme qui la fuyait à grandes enjambées. Elle ne lui en voulait plus à lui mais à elle, de ne pas voir la réalité en face, une réalité qui était pourtant très clair. La dernière fois qu’elle avait vu Harry, c’était il y a plus d’un an maintenant, elle lui avait demandé de but en blanc s’il aimait Ginny, il lui avait répondu du tac au tac : non. Elle avait donc décidé de laisser la vie faire son petit bonhomme de chemin, tout en espérant que le brun se trouve quelqu’un rapidement pour que sa fille l’oublie.

    -« Ginny, tu exagères, ça fait plus de 10ans maintenant. Tu gâches ta vie » lui déclara Hermione quand elles furent dans la cuisine.

    -« Il est célibataire. »

    -« Il est marié à son travail »

    -« Ton mari fait le même métier et il n’est pas marié à son travail. »

    -« Harry et Ron n’ont pas fait le même choix de vie. »

    -« Ecoute la pessimiste, il suffirait de pas grand chose pour que Harry Potter me tombe dans les bras, de nouveau »

    -« Ce qui te faudrait vraiment c’est une paire de claque » fit sa mère entrée furtivement dans la cuisine, venue cherche un peu d’eau pour son petit-fils qui lui faisait une lecture sur un moldu nommé Toto. 

    -« C’est à cause d’elle qu’il ne vient plus » affirma Ginny quand elle fut repartie. « C’est la dernière personne à qui il est parlé avant de partir la dernière fois qu’il est venu. Je suis sur qu’elle lui a interdit de revenir. »

    -« Tu sais bien que c’est faux Ginny. »

    -« Alors pourquoi ne vient-il plus nous voir. »

    Hermione secoua la tête et soupira. La vaisselle se faisait tranquillement et elle se demanda encore une fois pourquoi, elle avait pris ce congé. Pour être avec ses enfants ? Oui bien sur et aussi pour être avec sa belle-sœur obsessionnelle ? Non pas du tout.

    -« Invite le soir, Hermione. »

    -« Ginny… » fit interloqué la brune.

    -« Je lui ferrais croire que je ne voterais pas pour lui. Je jouerais même les indifférentes. Invites d’autres types aussi, n’importe lesquels, je m’en fiche. Et j’en draguerais un sous ses yeux. Il sera vert de jaloux. »

    -« Où totalement soulagé. »

    -« Et il me tombera dans les bras. » La rousse l’enlaça dans ses bras, l’emprisonnant.

    -« Allez invite le » minauda Ginny en frottant son nez contre l’épaule de la mère de famille.

    -« Ginevra ! »

    -« Hermione. »


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